Lunaison

La Nouvelle Lune du 17 septembre 2020

La Nouvelle Lune du 17 septembre 2020 annonce un petit rééquilibrage des énergies avec plus de subtilité et de nuance dans les tendances. L’énergie Yang se prépare à renaître un peu. C’est le moment de faire le point sur notre affirmation de nous-mêmes et de nous élever en conscience pour dépasser les dualités conflictuelles.

  1. Nous allons aborder cette Nouvelle Lune du 17 septembre 2020 par l’équilibre de la stimulation des éléments. Il est encore marqué par une forte prépondérance des énergies de réalisation concrète ce qui peut nous donner une capacité à œuvrer, à faire les choses, à être appliqué et relativement régulier dans nos tâches ou nos réalisations.
    passer par le « faire » en ce moment, nous aide à traverser la période en évitant les projections stériles qui peuvent être nombreuses. Autour de cette Nouvelle Lune du 17 septembre 2020.
    Progressivement, la stimulation des énergies est en train de se rééquilibrer avec plus d’énergie Yang. Ce n’est pas encore équilibré ni hyper sensible pour cette Nouvelle Lune du 17 septembre 2020, mais nous pouvons commencer à le sentir. Dans quelques jours lorsque nous allons entrer dans le mois des Balance, le 23 septembre, l’équilibre entre les énergies Yang et Yin sera retrouvé et nous pourrons nous sentir plus stimulés dans nos élans, dans nos impulsions pour aller de l’avant, tout en conservant les pieds sur Terre. Nous pouvons peut-être déjà sentir l’émergence d’un pétillement plus proactif et créateur de nouvelles formes de vie. Je le sens personnellement. Le mois de la rentrée a été très dans le faire, il fallait s’appliquer concrètement à faire les choses pour qu’elles se réalisent, maintenant s’ouvre une forme de créativité plus projective.
    La prépondérance reste plutôt Yin sur les mois à venir, donc il s’agit pour nous de saisir cette petite balle au bond pour équilibrer notre vie en lançant ce qui doit l’être dans les 15 jours à venir.
  2. Bien que la stimulation des énergies Yang soit faible, nous traversons une période où la question des l’affirmation de soi est très importante. Cette question est liée au signe du Bélier. Le Bélier est un processus qui initie la volonté, le « je veux ». Sur le plan d’une énergie collective et mondiale en ce moment, la question de ce que nous voulons en tant qu’humanité nous est posée d’une manière forte. C’est une question qui met en jeu notre énergie-conscience de combativité, notre désir de défendre le territoire que nous voulons conserver, conquérir ou préserver pour affirmer qui nous sommes par un « Je veux » ou je ne veux pas d’ailleurs.
    Cette question du désir d’affirmation de ce que nous voulons est associée à la question de la dualité qui divise. D’où les grandes dissentions entre ce qui veulent porter le masque, ce qui ne veulent pas le porter, ce qui veulent ceci ou cela.
    Si nous restons dans une forme d’expression de notre désir, frontale et belliqueuse, nous entretenons une forme de dualité qui engendre et attire de l’agressivité et de la violence. La question que nous avons à résoudre est celle de la résolution de cette quadrature du cercle qui consiste à être soi-même sans tomber dans l’ornière d’une dualité conflictuelle.
    C’est compliqué, mais essentiel.
    Cela nous demande de traverser nos états grégaires ancestraux qui s’affirmaient par la projection de leur volonté personnelle sur l’autre, par le besoin de convaincre l’autre pour le ramener à leur cause. Cette forme d’affirmation de soi nait de la peur de l’autre, de la peur qu’il soit plus puissant que nous, que si sa volonté, qui diverge de la nôtre, rencontre des forces similaires à la sienne elle s’agrège à elle et nous évince, ou nous efface. Fondamentalement, cette peur émane d’un manque de confiance dans notre « Je suis », dans notre capacité d’être qui nous sommes.
    Quand quelqu’un nous agresse, ou que nous agressons quelqu’un, parce que nous ne pouvons pas inclure la différence, c’est que le « je suis » est faible et qu’il a peur de disparaître. Ce n’est pas une affirmation de soi, c’est une affirmation de la peur de ne pas être.
    Ce que nous traversons en ce moment nous questionne profondément sur cette peur de ne pas être. Parce qu’il est question de survivance de ce que nous sommes sur un plan sociétal et mondial. Sur le plan moral autant que physique. Et que cette bataille n’est pas encore gagnée.
  3. En cette fin d’été et début d’automne, nous allons revisiter ce que nous avons posé durant ces derniers mois, en affirmation de nous-mêmes et en désir de défendre, garder ou préserver qui nous sommes. Nous allons revenir sur tout cela, revenir sur la question des clivages dans lesquels nous nous sommes inscrits. Le vrai travail à faire sera de sortir des clivages en restant nous-mêmes, c’est-à-dire de faire confiance dans le fait qu’affirmer qui nous sommes, sans chercher à détruire qui que ce soit, et l’ultime protection qui nous préserve
  4. Et pour faire tout cela, il nous faudra passer à une version beaucoup plus spirituelle et profonde de la conscience d’être et de l’affirmation de qui « Je Suis ». Nous avons un travail de guérison de vieilles blessures sur la question de l’affirmation de soi à faire, pour dépasser les illusions de la matière en ce domaine.
    Si une forme de vie matérielle et concrète nous donne le sentiment qu’elle nous empêche d’être qui nous sommes, et que nous entrons dans la croyance que cette manifestation matérielle dans la forme est une condition extérieure qui s’impose à notre « je Suis », alors nous restons coincés dans la matrice, nous restons piégés dans l’illusion et nous entrons inévitablement dans le conflit… ou dans la soumission.
    C’est ce que nous observons en ce moment avec la crise sanitaire.
    Si je vis le port du masque obligatoire comme quelque chose qui vient écraser l’expression de qui « Je Suis », je vais probablement entrer dans le conflit, prendre des amendes, lutter avec mes voisins de transports, ma famille, mon boulanger… ou me soumettre en pensant que « je suis » incapable de changer les choses.
    L’autre possibilité qui ouvre au changement, c’est d’affirmer qui « Je Suis », mais sans lutter contre celui qui n’est pas comme moi. Cette affirmation de Soi part d’une conscience spirituelle inébranlable et non de la peur. Elle finit par créer d’elle-même des conditions de vie qui nous épargnerons les désagréments de nous étouffer dans un masque, ou de devoir nous intoxiquer par l’inoculation de produits douteux…
    Et comment cela se passera-t-il cette protection magique ? Peu importe. Là n’est pas la question. Cela se fera car c’est ce que « Je Suis » : libre de respirer dans un corps sain.
    Je prends cet exemple parce qu’il est au cœur de l’actualité, mais nous pouvons appliquer cela au secteur de notre vie où se trouve le Bélier pour comprendre où l’affirmation de ce « Je Suis » est importante en ce moment pour nous.
  5. J’ai fait un focus complet sur cette question qui nous est aujourd’hui posée. Pour aller au bout il me faut rappeler que la question du « Je Suis », pour ne pas tomber dans les ornières de l’ego doit s’ouvrir à la conscience qu’elle doit servir ou soutenir la refondation complète de nos structures et non tenter de les maintenir en place. Ce point a été déjà développé dans le paragraphe n°2 de la Pleine Lune du 2 septembre 2020.
    De même, il nous faut faire attention à ce que notre besoin d’affirmation de nous-mêmes, notre « Je Suis » ne soit utilisé pour galvaniser nos projections de nous-mêmes dans un futur incertain. L’idée n’est pas de nourrir un ego qui se projette au loin, mais, dans la situation actuelle, de nous amuser, de prendre plaisir à affirmer qui nous sommes, de l’exprimer par la parole, dans l’échange et le respect de celui qui n’est pas d’accord, sans en faire toute une histoire. C’est énergie qui aujourd’hui arrive à s’affirmer sans être pilonnée. L’équilibre est difficile à trouver.
    Pour nous aider à le trouver, nous pouvons observer deux hommes qui s’affirment de manières différentes en ce moment, les professeurs Raoult et Toussaint.
    L’un est l’autre ont un « Je Suis » puissant et bien construit, mais l’un des deux, le professeur Toussaint a une conscience moins conflictuelle que l’autre et, de ce fait plus ancrée. On lui fiche plus la paix et son message plus universel est en train de faire basculer la crise sanitaire à son « Je Suis » sur le thème d’arrêter d’instaurer la peur, qui est une question plus fondamentale. Je ne dis pas que l’un est mieux ou plus utile que l’autre, j’aime beaucoup les deux 😊. Je nous invite à observer deux formes de « Je Suis », l’une plus belliqueuse qui engendre plus de controverses, et l’autre qui à trouver la faille pour s’affirmer sans chercher à écraser.

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. Les énergies du moment sont complexe à décrypter. Si on voulait écrire à chaque Pleine Lune ou Nouvelle Lune le panorama complet de ce que nous traversons, il nous faudrait des pages et des pages. J’essaye donc à chaque quinzaine de faire un focus sur une configuration qui peut durer plusieurs mois pour décrypter progressivement ce que nous vivons. Aujourd’hui j’ai fait un grand focus sur la question du Bélier, du désir, énergie de Mars, et de l’affirmation de soi. Ces énergies vont nous questionner encore plusieurs mois, alors gardez cela dans un coin de votre tête. En ce moment, en tant qu’êtres humains, nous nous définissons dans qui nous sommes.

Très belle quinzaine à tous et à toutes et à très bientôt pour la Pleine Lune en Bélier en 2020 ! Elle sera certainement très stimulante par rapport aux questions posées.

Image par Free-Photos de Pixabay

 

Exercez votre discernement. Ne prenez pas ce qui est écrit comme parole d'évangile. Interrogez votre ressenti à propos de ce que vous lisez.

15 commentaires

Anne 30 septembre 2020 at 10 h 22 min

Bonjour Tristan,
Je ressens ce besoin d’affirmation à titre personnel, qui me semble salutaire mais malheureusement mal compris, dans la situation sanitaire que nous vivons. Je veux dire que si on avait le malheur de dire en mai 2020 « je n’ai pas peur », « j’ai remis mon enfant à l’école primaire avec plaisir » et » j’y suis également retournée avec joie » devient suspect pour certains et clivant dans nos relations amicales et professionnelles. Se taire pour ne pas déplaire..
Et cette énergie de septembre; que vous évoquez, montre que « se taire » devient de plus en plus compliqué.
On a a la preuve avec Marseille où souffle « un vent d’affirmation contestataire » sur la fermeture des restaurants et bars.
Enfin, Je partage totalement l’illustration de votre analyse avec les professeurs Raoult et Toussaint , que j’apprécie aussi.
Merci encore Tristan pour la justesse de tes propos . Bises.
Anne

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Gisèle 29 septembre 2020 at 2 h 09 min

merci Tristant, bien dit ce Yin / yan à équilibrer …….

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Tristan 3 octobre 2020 at 16 h 53 min

Merci 🙂

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Anne 26 septembre 2020 at 8 h 53 min

Bonjour Tristan,
Je ressens ce besoin d’affirmation à titre personnel, qui me semble salutaire mais malheureusement mal compris, dans la situation sanitaire que nous vivons. Je veux dire que si on avait le malheur de dire en mai 2020 « je n’ai pas peur », « j’ai remis mon enfant à l’école primaire avec plaisir » et » j’y suis également retournée avec joie » devient suspect pour certains et clivant dans nos relations amicales et professionnelles .Se taire pour ne pas déplaire..
Et cette énergie de septembre; que vous évoquez, montre que « se taire » devient de plus en plus compliqué.
On a la preuve avec Marseille où souffle « un vent d ‘affirmation » sur la fermeture des restaurants et bars.
Enfin, Je partage totalement l’illustration de votre analyse avec les professeurs Raoult et Toussaint , que j’apprécie aussi.
Merci encore Tristan pour la justesse de tes propos .
Anne

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Tristan 3 octobre 2020 at 16 h 57 min

Merci à vous de votre présence.

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Francine 20 septembre 2020 at 10 h 51 min

Merci Tristan pour vos éclairages et un grand merci, aussi, à Muriel pour son long commentaire, son altruisme et sa curiosité.
Certes, ce n’est guère agréable de porter un masque( rappel de mes années hospitalières), ce n’est qu’une partie des techniques préventives pour ce nouveau virus…et même si je sens qu’il vient porter un message sur nos vieilles structures, je porte le masque , comme Muriel, quand c’est nécessaire pour protéger surtout les autres.
Les remontées du terrain soignant aussi bien en ville , campagne ou à l’hôpital nous démontrent que , bien-sûr il y a des formes simples, mais que des formes moyennes ont des conséquences plus que pénibles dans les mois qui suivent au niveau récupération et séquelles et que c’est souvent les populations plus défavorisées qui peinent à trouver de l’aide.
Peut-être que je mettrai un bémol pour le port du masque chez les collégiens et lycéens et le désir de relationnel qu’ils ont besoin pour grandir.
Mais, je ne peux que m’efforcer de penser aux différentes étapes de la connaissance: à une époque , le lavage des mains a fait disparaître les fièvres puerpérales ( infection générale après les accouchements souvent mortelles ); comment réagirez t-on si un chirurgien ou une chirurgienne nous opérer sans masque ou gant, ou si un soignant avec un gros rhume ou un début de grippe venait s’occuper d’une personne chère à notre coeur sans masque aussi ?
Je fais donc cet effort , espérant que ce sera transitoire dans notre époque, le temps que ce virus se fasse une place moins  » virulente » dans le monde et que ses effets s’atténuent, car cela viendra…avec espoir et partage.
Beau dimanche à toutes et tous

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Lys 19 septembre 2020 at 19 h 15 min

Bonjour, oui l equilibre est difficile a trouver et je suis un peu perdue avec cette maison du Belier.
En Belier j ai essentiellement la maison 6, pour moi ce Je suis serait Je suis utile. J ai Chiron natal dans ce signe et cette meme naison et vis le retour de Chiron, J ai l impression que cette question d utilite est bien ce qui pese lourd dans ma vie, m enfonce depuis longtemps, J ai d ailleurs le Noeud Nord en maison 5 en Poissons, Alors,,, Je suis utile, ou bien je pense a moi, a ce que j aime, et pour moi ?
Belier c est Je suis ou Je veux ?
Par ailleurs qu en est il de l energie solaire et de l ascendant dans ce Je suis ? Je suis du signe de la Vierge, j y ai aussi le Noeud Sud<
Quand parler d etat GREGAIRE, vous voulez bien parler de l instinct de troupeau, a la tendance a vivre en groupe, avex vous utilise le bon mot ? Je ne comprends pas.

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Lys 19 septembre 2020 at 19 h 19 min

Oups… Quand VOUS pqrleZ d etat GREGAIRE…

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Muriel 19 septembre 2020 at 11 h 11 min

Bonjour Tristan! Alors depuis le début de cet épisode de pandémie, je ne ressens personnellement aucune peur. C’est assez étrange d’ailleurs, mais franchement, je me sens plus curieuse de ce qui se passe qu’effrayée. En revanche, je n’arrive pas du tout à prendre ni Didier Raoult ni le Pr Toussaint au sérieux (pardon j’ai bien compris que vous les appréciiez beaucoup, moi c’est l’exact inverse, ils me font froid dans le dos, surtout le premier qui me semble tellement confit dans son ego que ça me met très mal à l’aise…). Et je ne comprends pas non plus du tout le mouvement anti-masques… J’estime qu’il est à la fois sensé et altruiste de se protéger les uns les autres avec un dispositif que je trouve relativement simple à mettre en oeuvre et pas si contraignant que ça au final, à un moment où il semble qu’on soit encore bien loin d’avoir tout compris de cette maladie, de son fonctionnement, de son impact à long terme… Bref, tant qu’on n’en sait pas plus long, je trouve ça raisonnable de prendre quelques précautions pour se protéger les uns les autres, surtout les plus fragiles d’entre nous… Peut-être parce que je connais personnellement des personnes de mon âge qui ont attrapé le Covid en mars dernier et que ces personnes, même si elles vont beaucoup mieux aujourd’hui, ne sont toujours pas parfaitement remises et ont encore pas mal de séquelles (dont on ne mesure pas bien les effets actuellement). Peut-être parce que mon village a été un cluster précoce et que je connais des enfants qui pleurent encore aujourd’hui la perte d’un grand-père adoré (près de la moitié des personnes âgées de l’EHPAD à côté de chez moi sont mortes de cette maladie au printemps dernier). Donc quand je mets mon masque le matin, je pense à elles, et au fait que je vais peut-être éviter à d’autres d’attraper cette maladie si je venais à l’avoir moi-même, sans le savoir… Bref, je mets mon masque avec un profond sentiment de solidarité, jamais avec la sensation qu’on me contraint ou qu’on me limite. Par ailleurs, je suis sidérée de voir autour de moi des personnes que j’aime s’écharper littéralement sur un sujet sur lequel manifestement il y a plus de doutes que de certitudes. Je sens beaucoup de conviction, de détermination, des montagnes de certitudes, et beaucoup, beaucoup de colère aussi. Chacun s’envoie à la figure des « pense par toi-même », « renseigne-toi mieux », « ouvre les yeux », « réveille-toi », sans se poser une seule fois la question de la violence de ces assertions et de l’arrogance qui se cache derrière. Personnellement je suis pleine de doutes, j’attends que les scientifiques (qui ont besoin de temps pour mener à bien leurs recherches, et devraient passer moins de temps sur les plateaux télé pour certains d’entre eux…) progressent dans leurs connaissances du virus et dans l’attente d’en savoir plus, je prends juste des précautions pour les autres, sans être absolument certaine que c’est ce qu’il faut faire, mais en me disant qu’au pire, ça limitera d’autres contagions sur d’autres virus (il y en a plein d’autres qui circulent, alors bon…). Parfois j’envie ceux de mon entourage qui sont persuadés d’avoir tout compris à cette crise parce que ce doit être plus confortable que d’être dans le doute et les questionnement, mais quand je vois la rage qui les anime à l’idée qu’on leur impose injustement le masque, l’énergie qu’ils déploient à exprimer leur colère face à ce qui leur semble si injuste et si contraire à leurs convictions, la sensation étouffante qu’ils ont de vivre dans un monde où absolument toutes les institutions les manipulent et leur veulent du mal, finalement, je préfère l’inconfort de mes doutes et de mes questionnements, et ma relative tranquillité par rapport au fait que je ne me sens brimée par personne dans cette histoire. Je n’ai pourtant aucune confiance dans notre gouvernement (pas spécialement celui-ci plus qu’un autre d’ailleurs : ça fait longtemps que je regarde la plupart des politiques comme des pantins guidés par des ambitions égotistes bien plus que par la recherche du bien commun…), mais je n’ai pas du tout la sensation d’être manipulée par tout et par tout le monde. Je me trompe peut-être d’ailleurs, mais je crois juste (et c’est tout aussi flippant, ça pour le coup!) que les dirigeants actuels sont pour la plupart tellement incompétents qu’ils naviguent à vue, sans véritable boussole, et sous l’influence de lobbies puissants aussi parfois. D’où les injonctions contradictoires (« De « les masques ne servent à rien » à « ils sont obligatoires » par exemple…), et les mesures idiotes (1 mètre de distance entre chaque élève en juin mais dans le bus ou dans le train, ils pouvaient limite être les uns sur les autres, pas de souci…). Bref, je ne ressens ni peur, ni colère, je reste dans l’attente d’en savoir plus, et je passe plus de temps à me dire « je ne sais pas » que « je suis sûre que… » (ce qui, curieusement, ne m’embête pas plus que ça alors que j’ai passé une bonne partie de ma vie à essayer de tout savoir et de tout comprendre… c’est assez marrant pour moi de voir que c’est quand je dis « je ne sais pas » que je me sens le plus en paix avec moi-même finalement…). En revanche j’avoue être un peu lasse de me faire interpeller avec agressivité par ceux de mon entourage qui voudrait me voir « me réveiller » et cesser d’être un « mouton masqué ». Un peu marre aussi de m’entendre dire par des personnes manifestement en colère contre tout et contre tout le monde (ou presque) que je vis dans la peur et la soumission alors que je me sens paisible et plutôt bien dans mes pompes en ce moment. Bref, voilà, il semblerait donc que mon « Je suis » ressemble fortement à un « Je ne sais pas ». Moi ça me va, mais il semblerait que ça ne corresponde pas trop à l’air du temps… Des bises Tristan, et merci de prendre le temps de nous écrire ce qui vous semble juste à vous (y compris quand ça ne me semble pas juste à moi : j’aime bien vous lire, quoi qu’il advienne…). Muriel

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Françoise 17 septembre 2020 at 20 h 38 min

Bonsoir Tristan,
Merci pour ce bel éclairage sur la direction à prendre au niveau spirituel. Cela aide vraiment concrètement. L’exemple des deux 2 professeurs est parfait comme démonstration.

Alors, notre Président n’aurait pas pris la bonne direction….? il tousse dans son masque face à de jeunes élèves imperturbables – pas un sourcil ne bouge – : son discours tourne dans le vide face au mur qu’il a lui même construit…. Impressionnant.

Gratitude pour ce bel article.

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Tristan 18 septembre 2020 at 11 h 02 min

Avec plaisir ! Je ne suis pas sûr que notre cher président tourne souvent son regard vers la Lumière :-).

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Sophie 17 septembre 2020 at 19 h 23 min

Merci pour cet article très clair et pertinent. J’apprécie également le fait qu’il reste dans le coeur (certains discours auraient tendance à nous entraîner dans la dualité ces temps ci et là je sens une belle énergie).
Tellement parlant pour moi! Je ne suis pas spécialiste mais cette Nouvelle lune intervient pour moi en tout début de maison 10, près du milieu du ciel et de la planète mercure dans mon thème natal.
Cet article est une magnifique synchronicité alors que ce matin même j’ai pu vivre une experience challengeante en présentant à quelqu’un qui m’impressionne mon projet professionnel naissant : suivre la voix (la voie…) de l’autre qui cherche à me dissuader (comme avant, comme les 40 dernières années) ou suivre ma voie..la voix du coeur…me donner du crédit et du soutien à moi-même…enfin!
Oh bien sûr j’ai des peurs, peur de ne pas prendre le bon chemin, peur de me tromper, peur que mes choix soient moins pertinents que ceux des autres…
Mais la différence je crois c’est qu’aujourd’hui la peur est moins forte que l’amour.
Merci…

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Tristan 18 septembre 2020 at 11 h 04 min

Merci Sophie pour ce très beau témoignage. La peur moins forte que l’Amour, c’est honnête et c’est beau. On en est tous là plus ou moins je pense. Rare sont ceux qui n’ont plus aucune peur. Haut les cœurs !

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Noémie 17 septembre 2020 at 16 h 37 min

Bonjour Tristan, merci pour votre article, comment mieux comprendre cette énergie d’affirmation de soi avec le signe du bélier qui est dans mon thème en fin maison 9 et début maison 10? J’ai du mal à différencier la maison 6 de la maison 10 comme elles couvrent toutes les 2 le sujet du travail.
Merci à vous!

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Tristan 18 septembre 2020 at 11 h 06 min

Pensez la maison VI comme l’experience de votre utilité, de votre temps employé à rendre un service, et la X, comme celle de votre poste, votre statut social et professionnel.

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